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InternationalWomensDay

2020 marquait les 25 ans de la « Quatrième conférence mondiale sur les femmes : Lutte pour l’Égalité, le Développement et la Paix » qui s’est tenue en Septembre 1995 à Pékin.

 

A l’instar de l’événement de 1995, ce devait être l’année de retrouvailles mondiales entre toutes les parties prenantes engagées pour plus d’égalité au Forum Génération Egalité qui devait se tenir à Paris en juillet 2020.  La pandémie dans laquelle a basculé la planète en aura décidé autrement…

 

UN Fourth World Conference on Woman Commerative Sheets – Beijing 1995 –

Cadeau fait à l’association en 2020 – Image propriété de China Post

 

La force de nos engagements demeure néanmoins intacte. En ce 8 mars 2021 à travers le monde et malgré les restrictions de déplacement et de rassemblement, des millions de femmes et d’hommes se mobilisent, font entendre leurs voix, partagent leurs actions, appellent à des avancées encore plus significatives, et dénoncent l’inacceptable : l’inégalité de droits entre les femmes et les hommes.

 

Proclamée le 8 mars 1977 par l’ONU, la journée des droits des femmes est adoptée en France depuis 1982. 40 ans donc cette année, que l’on dédie dans ce pays une journée aux droits des femmes.

 

Des droits encore bafoués dans bien des contextes et nombre de situations. Et la crise sanitaire aura malheureusement révélé qu’une fois de plus ces droits sont encore bien trop fragiles tant la persistance à les minimiser, les ignorer, les malmener peut être d’une violence inouïe.

Sexuelle, physique, verbale, psychologique, économique, administrative, numérique, les violences touchent majoritairement les femmes et les filles. Les chiffres parlent d’eux-mêmes et je ne vais pas en faire état ici…

 

8 mars 2021 – Journée internationale des droits des femmes

 

On retiendra les propos d’António Guterres, Secrétaire Général de l’ONU, qui énonçait, dans son allocution publiée sur les réseaux sociaux le 23 février dernier : « La façon dont la société traite la moitié de sa population est révélatrice de la façon dont elle traitera les autres ».

Quand l’espèce considérée comme la plus évoluée du monde vivant démontre encore son incapacité à reconnaitre les mêmes droits fondamentaux à tous ses membres, on peut effectivement s’interroger sur sa capacité à respecter et honorer tous les êtres vivants qui contribuent pourtant tous chacun à sa place et de sa place à l’équilibre de toute cette magie planétaire.

 

Apporter des réponses concrètes à ces inégalités de droits entre les femmes et les hommes, mobiliser toutes les énergies (et elles sont nombreuses), déployer tous les moyens possibles pour enrayer ces violences séculaires vis-à-vis d’un groupe du fait de son genre n’est pas une option, c’est la seule option pour un futur viable et vivable.

 

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Sandy BEKY – CoFounder de HeHop