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Le recours à la blockchain s’est accentué au sein de la communauté juridique, notamment (et sans surprise) comme moyen d’assurer la sécurité des données. Cette utilisation accrue de la chaîne de blocs par les autorités policières et autres acteurs juridiques pour sécuriser les données judciaires soulèvent cependant des questions quant à la manière dont la technologie est déployée.

Depuis plusieurs mois Marina Teller Professeur en droit privé à l’Université Côte d’Azur, Directrice de la Chaire d’excellence scientifique «Droit  économique et  Intelligence  Artificielle» a utilisé HeHop comme sujet des travaux d’études de ses étudiants du programme Deep Law for Technologies (DL4T).
En effet notre dispositif s’appuie sur la blockchain pour rendre infalsifiables des éléments capturés par l’application et en assurer la traçabilité de la capture à l’exploitation par la chaîne judiciaire.

Nous remercions Marina Teller pour ces travaux et la présentation de HeHop dans la table ronde « Policing blockchain : blockchain for judicial actors » à laquelle elle participe à Montréal dans le cadre de l’ACT International Conférence, organisée par le Laboratoire de cyberjustice au Canada.